Sur les 10 premiers mois, 2017 se caractérise par des températures très élevées et un fort déficit de précipitations, ce qui en fait, à l’instar de 2003, une des années les plus chaudes et sèches sur la période 1959-2017. ☀🔥 Sur l’Hexagone, le printemps et l’été 2017 sont même les 2e plus chauds jamais observés sur la période. Sur les 10 premiers mois et sur la France, la température moyenne a dépassé la normale de 1°C et le cumul de précipitations est déficitaire de près de 20 %. Le déficit a même dépassé 50 % en avril et octobre. Depuis avril, la situation est préoccupante sur le sud-est de la France et la Corse qui présentent un déficit pluviométrique récurrent proche des records. 🌡👎
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Les Nations unies sonnent l’alerte sur les efforts très insuffisants des Etats pour contenir la hausse de la température planétaire. 🌡 A supposer que tous les Etats respectent l’intégralité de leurs promesses (accord de Paris), la Terre s’achemine aujourd’hui vers une hausse du thermomètre de 3 °C à 3,2 °C à la fin du siècle. 👎 En tout état de cause, on reste très loin du compte : pour garder une chance de rester sous les 2 °C, il faudrait que le pic des émissions soit atteint en 2⃣0⃣2⃣0⃣ au plus tard. ⏳😵
» Source : le Monde
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Octobre 2017 se caractérise sur la France par une douceur remarquable en seconde partie de mois et par un déficit de pluviométrie souvent proche des records dans le Sud. ☀🌵 En moyenne sur le mois et sur le pays, la température devrait être supérieure à la normale de 1,4 °C. 🌡Les passages perturbés ont été peu fréquents et peu actifs sur l’ensemble de l’Hexagone. En moyenne sur la France et sur le mois, le déficit pluviométrique, supérieur à 60 %, est proche des valeurs records avec octobre 1969, 1971, 1978 et 1985. 🔥 La région Provence-Alpes-Côte d’Azur connaît une sécheresse record depuis le début des mesures.
» Source : Météo-France
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